L'un des États les plus fermés de la planète, la RPDC ne pratique pratiquement pas la délivrance de visas touristiques. Pour arriver ici, vous devrez passer par un certain nombre de formalités difficiles et en même temps ne pas être citoyen des États-Unis, de la Corée du Sud et ne pas être journaliste. Si toutes ces restrictions n'effraient pas un voyageur potentiel en provenance de Russie et ne le concernent pas, alors une visite à Pyongyang pourrait bien devenir une option pour passer des vacances ou des vacances.
Histoire avec géographie
La ville est située sur les rives de la rivière Taedong, non loin de l'endroit où elle se jette dans la mer Jaune. Sa population a depuis longtemps dépassé les deux millions, et donc les visites à Pyongyang sont l'occasion de voir comment vit l'immense métropole coréenne.
Les historiens locaux pensent que la date exacte de la fondation de la ville est 2334 avant JC, bien que les scientifiques d'autres pays pensent que ces données sont erronées et que tout s'est passé au moins deux millénaires et demi plus tard.
En bref sur l'important
- Il n'y a pas de vol direct de Moscou à Pyongyang dans les horaires des aéroports russes, mais il est possible de traverser la RPC. L'amarrage à Pékin ou à Shanghai permettra au participant à la tournée de Pyongyang de commencer son voyage.
- Le deuxième moyen pour se rendre en RPDC est le train Moscou-Pékin-Pyongyang, mais cette option prend trop de temps et le voyageur court le risque d'arriver à destination complètement épuisé.
- Le moyen le plus simple de se déplacer dans la ville est le tram ou le trolleybus, mais dans le métro de Pyongyang, il existe certaines restrictions sur l'admission des étrangers.
- La plupart des attractions peuvent être inaccessibles au participant à la visite de Pyongyang s'il est habillé de manière informelle. Le code vestimentaire strict et l'interdiction de filmer les installations militaires ne doivent pas être enfreints.
- Il est impossible d'élaborer votre propre programme d'exploration de la ville en RPDC, car le gouvernement contrôle les touristes et « propose » constamment ses propres itinéraires.
- Les principaux sites touristiques appartiennent à la période d'après-guerre et les bâtiments et structures de valeur historique ne peuvent pas être vus par les participants aux visites à Pyongyang. Les principaux sites commémoratifs de la ville sont associés à Kim Il Sung et à ses réalisations dans la construction et la mise en œuvre des idées du Juche en République populaire démocratique de Corée.